Mon engagement

Je soutiens les adoptions dans les refuges et dans les associations.

 En adoptant vous sauvez des vies et vous êtes acteurs du changement et du bien-être animal.

Retrouvez toutes les adresses de tous les refuges de Belgique par régions:

https://www.gaiakids.be/fr/adopte-un-animal-abandonne

Merci à GAIA.

L’association PodencoLove sauve des chiens en Espagne spécifiquement des podencos, des mastins, des bodegueros,… mais également d’autres races ou tout simplement des croisés.

Ces chiens sont soit des chiens de rues, récupérés en piteux état, des chiens cédés par des chasseurs, des chiens de refuges, de fourrière comme celle de Séville ou de Grenade, mais également des chiens issus de syndrome de Noé*.

Bien souvent des estropiés de la vie chiens à 3 pattes, aveugles, borgnes, vieux ou malades, mais qui ont le droit d’avoir un un panier de coeur pour leurs vieux jours.

Rita intervient également pour dénoncer le trafic de chiens qui alimente les animaleries en Belgique et les élevages privés et clandestins ou la maltraitance de chiens en Belgique.

Les chiens belges sont également aidés et replacés dans des familles.

Il s’agit le plus souvent de vieux chiens ou des chiens que les gens ne veulent plus.

Les chiens espagnols sont placés dans des pensions ou familles d’accueil qui sont rémunérées jusqu’à leur adoption.

Rita est responsable de PodencoLove.

Tant elle que son mari font un travail formidable avec d’ autres bénévoles et adoptants un seul objectif de sauver, soigner et faire adopter leurs protégés. Moi-même, j’ai adopté une croisée podenca et tout est fait pour le bien-être et la sécurité des chiens.

Rita et son mari ont vraiment une éthique incroyable! C’est l’amour des animaux à l’état pur.

Je vous recommande de tout coeur PodencoLove.

Voici le site pour les différentes infos sur Pondencolove ===> sur Facebook PodencoLove Rita.

 

https://podencolove.wordpress.com

​*Le syndrome de Noé: Est une accumulation d’animaux, est une maladie mentale qui consiste à posséder trop d’animaux de compagnie. Plus exactement, on possède plus d’animaux que l’on en peut héberger, nourrir et soigner correctement et dans le même temps, on dénie cette incapacité